Brocard d'été 2013 / Chroniques !

art chais a écrit:Deuxième sortie hier soir !! des lièvres, des lapins, des faisans !!! et une chevrette à moins de 5 mètres sous le TS ! 
Le broc vu la semaine dernière a du resté couché dans la jungle du sous bois ! Je ne sais pas si pour vous le constat est le même, mais cette météo a rendu nos sous bois méconnaissables ! On va bientôt prendre les coupe-coupe !

Ti racoon a écrit:A la chasse,il faut etre opportuniste....Tir le petit broc et laisse le gros broc pour cet hiver.....

Pascal a écrit:
Mais, j’ai plus vu de chevreuils dans la semaine que trois ans dans le Vaucluse, avec deux tirs.

Ti racoon a écrit:A la chasse,il faut etre opportuniste....Tir le petit broc et laisse le gros broc pour cet hiver.....

foudarme a écrit:

Pepette a écrit:

Mais un renouvellement prochain de mon matos photo, histoire de faire de jolis portraits de 6 pointes.

on attend ça avec une grande impatience

stak a écrit:lundi dernier première sortie c'est un territoire typique du pays basque très valloné avec des pentes qui sont difficiles en v très prononcées 
je descend tout doucement au petit matin dans une des pentes 
et  un joli broc qui se défile devant moi , j'attends un long moment et redescend un peu , je me fais aboyer par le gros couillus qui est sur la pente d'en face dans le sale , je ne bouge plus et et 
le broc du dessous remonte , agacé le voilà dans mon tout près je me suis un peu accroupi , il monte aboie en défi de l'autre 
25 mètres un peu plus , son aboiement change du défi il fait place a celui de la peur , de la crainte du danger , mais il ne bouge pas , me sent il , a t il la perception qu' il y a autre chose que son congénère en face 
j'ouvre l'arc longuement sur lui , la flèche ne part pas , il est un peu loin , et inquiet , il redescend enfin en petit bon et en aboyant cette fois ci comme le  territorial qu 'il est agacé par ce dérangement de son train train du petit matin 
j'attends un moment et descend plus bas dans sa direction , je suis mainenant dans le plus bas , et je jumelle longuement la pente en face , je finis par le voir a la limite des céréales au dessus , il regarde dans ma direction mais ne me voit pas 
avec pas mal de difficulté je remonte de l'autre coté pour essayer de le reprendre 
me voilà dans la bordure des céréales , il est plus bas en fait et en repassant plus bas il m'aboie a nouveau agacé , je suis a bon vent et il entend surement le bruit que je fais dans les herbes hautes 
fin de la première approche 
je me défile un peu plus loin , en reprenant cette fois ci avec un vent un peu plus mauvais , un grand champ de blé un peu clairsemé 
un très gros six est dedans dans la bordure , hop me voilà a quatte patte a le remonter 
jusqu' a environ 35 mètres derrière un petite rangée de blé , il est montant , il ne me voit pas et puis d'un coup il regarde fixement dans ma direction( une saute de vent ?) 
c'est peut etre petit mouvement de tete fait qui l'inquiète ou le vent ? il aboie deux fois rentre agacé à couvert et continue son récital en se déplaçant irrité 
celui là il est vieux très beau et dès le moindre truc bizarre il file 
je remonte après un peu décontenancé et et je me fais avoir par un autre broc un peu plus haut : toujours rester vigilant jusqu' a la fin  
une bien belle matinée et dieu que c'est beau et difficile l'approche de cette bete

stak a écrit:lundi dernier première sortie c'est un territoire typique du pays basque très valloné avec des pentes qui sont difficiles en v très prononcées 
je descend tout doucement au petit matin dans une des pentes 
et  un joli broc qui se défile devant moi , j'attends un long moment et redescend un peu , je me fais aboyer par le gros couillus qui est sur la pente d'en face dans le sale , je ne bouge plus et et 
le broc du dessous remonte , agacé le voilà dans mon tout près je me suis un peu accroupi , il monte aboie en défi de l'autre 
25 mètres un peu plus , son aboiement change du défi il fait place a celui de la peur , de la crainte du danger , mais il ne bouge pas , me sent il , a t il la perception qu' il y a autre chose que son congénère en face 
j'ouvre l'arc longuement sur lui , la flèche ne part pas , il est un peu loin , et inquiet , il redescend enfin en petit bon et en aboyant cette fois ci comme le  territorial qu 'il est agacé par ce dérangement de son train train du petit matin 
j'attends un moment et descend plus bas dans sa direction , je suis mainenant dans le plus bas , et je jumelle longuement la pente en face , je finis par le voir a la limite des céréales au dessus , il regarde dans ma direction mais ne me voit pas 
avec pas mal de difficulté je remonte de l'autre coté pour essayer de le reprendre 
me voilà dans la bordure des céréales , il est plus bas en fait et en repassant plus bas il m'aboie a nouveau agacé , je suis a bon vent et il entend surement le bruit que je fais dans les herbes hautes 
fin de la première approche 
je me défile un peu plus loin , en reprenant cette fois ci avec un vent un peu plus mauvais , un grand champ de blé un peu clairsemé 
un très gros six est dedans dans la bordure , hop me voilà a quatte patte a le remonter 
jusqu' a environ 35 mètres derrière un petite rangée de blé , il est montant , il ne me voit pas et puis d'un coup il regarde fixement dans ma direction( une saute de vent ?) 
c'est peut etre petit mouvement de tete fait qui l'inquiète ou le vent ? il aboie deux fois rentre agacé à couvert et continue son récital en se déplaçant irrité 
celui là il est vieux très beau et dès le moindre truc bizarre il file 
je remonte après un peu décontenancé et et je me fais avoir par un autre broc un peu plus haut : toujours rester vigilant jusqu' a la fin  
une bien belle matinée et dieu que c'est beau et difficile l'approche de cette bete

kibok a écrit:

stak a écrit:lundi dernier première sortie c'est un territoire typique du pays basque très valloné avec des pentes qui sont difficiles en v très prononcées 
je descend tout doucement au petit matin dans une des pentes 
et  un joli broc qui se défile devant moi , j'attends un long moment et redescend un peu , je me fais aboyer par le gros couillus qui est sur la pente d'en face dans le sale , je ne bouge plus et et 
le broc du dessous remonte , agacé le voilà dans mon tout près je me suis un peu accroupi , il monte aboie en défi de l'autre 
25 mètres un peu plus , son aboiement change du défi il fait place a celui de la peur , de la crainte du danger , mais il ne bouge pas , me sent il , a t il la perception qu' il y a autre chose que son congénère en face 
j'ouvre l'arc longuement sur lui , la flèche ne part pas , il est un peu loin , et inquiet , il redescend enfin en petit bon et en aboyant cette fois ci comme le  territorial qu 'il est agacé par ce dérangement de son train train du petit matin 
j'attends un moment et descend plus bas dans sa direction , je suis mainenant dans le plus bas , et je jumelle longuement la pente en face , je finis par le voir a la limite des céréales au dessus , il regarde dans ma direction mais ne me voit pas 
avec pas mal de difficulté je remonte de l'autre coté pour essayer de le reprendre 
me voilà dans la bordure des céréales , il est plus bas en fait et en repassant plus bas il m'aboie a nouveau agacé , je suis a bon vent et il entend surement le bruit que je fais dans les herbes hautes 
fin de la première approche 
je me défile un peu plus loin , en reprenant cette fois ci avec un vent un peu plus mauvais , un grand champ de blé un peu clairsemé 
un très gros six est dedans dans la bordure , hop me voilà a quatte patte a le remonter 
jusqu' a environ 35 mètres derrière un petite rangée de blé , il est montant , il ne me voit pas et puis d'un coup il regarde fixement dans ma direction( une saute de vent ?) 
c'est peut etre petit mouvement de tete fait qui l'inquiète ou le vent ? il aboie deux fois rentre agacé à couvert et continue son récital en se déplaçant irrité 
celui là il est vieux très beau et dès le moindre truc bizarre il file 
je remonte après un peu décontenancé et et je me fais avoir par un autre broc un peu plus haut : toujours rester vigilant jusqu' a la fin  
une bien belle matinée et dieu que c'est beau et difficile l'approche de cette bete

MDAhunter a écrit:faute de bracelets j'essaye de prendre des photos  


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Bonjour à tous ,
Voilà je reviens d'Hirson pour ma 4°série d'affut  (soir et matin) depuis le 1° juin .
Hier soir après visite de mon 1° tree-stand je constate qu'il est surtout fréquenté par les sangliers et je décide de rejoindre le second où j'ai pu voir à 2 reprises un brocard et deux chevrettes.
La dernière fois ils sont passés à 25 m. paisiblement en longeant le bas côté herbeux de la route et dans mon dos.
Hier soir , rien de spécial si ce n'est un chat sauvage très furtif qui à longé le petit ruisseau sur la droite de l'affût et dont je n'ai vu que l'arrière train et la queue .
Ce matin ,réveil à 4,30h. je ne suis qu'a 250 m. de l'affût ,une tasse de café et une tartine et je me rend sur place dans le quasi noir .
Après le réveil des passereaux une buse viendra se poser à plusieurs reprises sur de grands arbres à moins de dix pas de moi ,puis plus rien !
7.35 h. je commence à ne plus espérer la visite du petit prince mais un léger bruit de feuilles dans mon dos ,sur la droite et tout près me fait tourner la tête .
Il est là, il vient de passer le ruisseau et s'acharne sur un coudrier ce qui me permet de me relever avec les précautions que vous imaginez .
C'est un six à la tête sombre et aux bois longs et très foncés . Je l'attends ,il n'est qu'a 8 m. dans les buissons et toujours dans mon dos. Il avance vers moi et passe au pied de l 'échelle ,il semble sentir les feuilles que j'ai du fouler en arrivant . Il me faut pivoter sur la gauche pour l'apercevoir sous moi et à moitié caché par une branche de charme que j'avais laissée sur le tronc .
L'arc est orienté vers lui et je me prépare à armer dès qu'il aura fait deux pas et sera à découvert et à moins de 4m. de mon arbre .Je suis prêt ,j'arme , j'aligne son poitrail et là un bruit...quelque chose vient de tomber devant lui ,c'est une branche pourrie de chêne sans doute déséquilibrée par la buse de ce matin .Il bondit de côté et en quelques enjambées disparait derrière moi en prenant bien soin
d'aboyer copieusement pour montrer combien il a été surpris .
Je reste là ,dépité et essayant de reprendre mes esprits .J'attends encore 5 minutes ,je redescends et je suis prêt à pleurer de rage .Dégoûté je rejoins la voiture par un chemin opposé à sa fuite pour qu'il ne
m'associe pas à la frayeur qui l'a fait décamper à toute vitesse .
Croyez -moi , je suis maudit !  J'avais déjà eu une expérience quelque peu similaire avec un sanglier en battue .Comment peut-on conjurer le sort que l'on m'a jeté ?
A bientôt et bonnes flèches .
Vincent.